Des masques. Des visages. Des filtres…
Tôt les matins, dans l’atelier, la radio allumée,
jours après jours j’entends la société décliner.
Besoin d’exorciser, de filtrer toutes ces mauvaises idées…
C’est comme ça que nous sommes nés.
N’ayant plus de mots pour m’exprimer, mes maux ont fini en papier mâché.